Bismileh Rahman Rahim
As Selem Wa Alaykum Wa Rahmatullah Wa Barakatuh
Le secret de la réussite
Et le clef du bien,
de l'abondance et du succès
Muhamed Ibn Abdel'Aziz Al-Mousnid
Une petit fille Koweïtienne
Hind, une petite fille Koweïtienne, était atteinte, à l’une de ses jambes, par l’un des plus graves types de cancers. Elle subit des examens médicaux accentués au centre chirurgical du cancer « Houssein Maki Joumoua » au Koweït. Elle suivit également un traitement accentué au centre Ajlastoune, centre spécialisé dans les soins du cancer, dans la ville d’Atlanta, dans l’était de Géorgie aux Etats Unis d’Amérique. Le montant des soins atteignit environ la somme d’un demi million de dollars. Elle fût également sujette à des intervention chirurgicales et à des diagnostics dont les résultats étaient regroupés dans un énorme dossier contenant de nombreux rapports et nombreuses radiographies ; le nombre des radiographies était supérieur à deux cents cinquante, et celles-ci confirmaient que Hind était bien atteinte de la maladie .
Lors d’une des étapes du traitement et après un diagnostic détaillé, Hind subit un traitement chimique (chimiothérapie) qui ne donna aucun résultat, et ce, alors que les spécialistes des deux centres cités, disaient que ce genre de traitement devait donner un résultat fondamental, au plus tard au bout de trois semaines.
Lors de la troisième étape, les médecins conseillèrent aux parents de Hind, d’accepter que leur enfant se fasse amputer la jambe, et ce, avec le risque que des cellules cancérigènes apparaissent à d’autres endroit du corps, et ce, dans un temps ultérieur qui ne dépasserait pas les proches années à venir .
Un des éléments qui s’ajoutait à cette tragédie, est qu’un nombre important de la famille de Hind était atteint également de cette même maladie.
La tristesse et la douleur qui apparurent sur le visage de la petite Hind était telles, que son père se trompa lorsqu’il dû entre sa thèse de doctorat dans l’ordinateur, et ce, à un moment où les longue nuits étaient vécues par la mère de Hind, étudiante universitaire, au milieu de pensées de frayeurs et d’inquiétudes au sujet de l’avoir de sa petite fille ; mais sa foi en Allah – le très haut – était telle qu’elle se soumit à la prédestination d’Allah –‘Azawâdjâl – et à son arrêt.
Au cours d’une nuit, la mère de Hind se mit au lit et son esprit s’évada au loin. Elle se mit à rêvasser au milieu d’un océan d’illusions et d’imaginations ; l’image de sa fille, marchant sur un pied et s’appuyant sur une canne, lui apparut ses yeux déversèrent alors tant de larmes, que le lit en fut mouillé. Elle chercha alors refuge auprès d’Allah –le tout puissant - contre Satan le maudit, et, avec ferveur, elle se mit à invoquer Allah –le majestueux- .
Et Soudain …Le mère de Hind se rappela d’une chose qu’elle avait complètement oubliée… Il s’agissait de la prière d’Al-Istikhara ; elle se leva et s’empressa alors de la faire .
Au matin, la mère de Hind éprouva de la haine pour tous les genres de traitements et de médicaments qui étaient administrés à sa fille ; elle prit alors la décision de ne pas faire amputer la jambe de sa fille .
Allah –le très haut - l’avait orientée vers un autre traitement, différent et tous les traitements et de tous les médicaments… Ce traitement, c’était le Saint Coran, qu’Allah –‘Azawadjâl – révéla afin qu’il soit une guérison et une miséricorde pour les croyants .
On lui indiqua un honorable Cheikh qui soignait par le Coran et les incantations conformes à la Shari’as. Elle alla alors le voir avec sa fille ; après plusieurs séances au cours desquelles le Skheiks lisait le Coran, en cachetant très légèrement sur la jambes de Hind et l’enduisant d’huile, la surprise eut lieu …
Les améliorations commencèrent à apparaître sur le jambes de Hind ; ses cheveux se mirent à repousser, après que la plupart d’eux étaient tombés à cause du précédent traitement puis, avec l’aide d’Allah – le tout puissant -, elle guérit à son état normal .
Pour tout le monde, le résultat était stupéfiant…Pour la petite fille elle-même – à qui le dynamisme, l’énergie et l’éclat de la jeunesse revinrent – et pour les membres de sa famille qui faillirent perdre espoir pour la guérison de cette grave maladie, et ce, après que les médecins se soient mis d’accord sur le fait qu’il n’ y avait pas d’autre remède en dehors de l’amputation. Quant au Sheikh, il sourit et dit « Pour moi, la chose n’est pas une surprise, les miracles du Coran sont quelque chose d’ordinaire pour le croyant, et ils sont trop nombreux pour que l’on puissent les dénombrer ; Allah –le très haut- a fait de ses versets un remède pour tout mal… Il a dit -soit-il glorifié –
Nous faisons descendre du Coran, ce qui est une guérison et une miséricorde pour les croyants cependant. Cependant, cela ne fait qu'accroître la perdition des injustes {Surat 17 v 82 }Un grand spécialiste de l’hôpital Américain d’Ajlastone déclara qu’il ne pouvait croire en l’évolution de la santé de Hind qu’uniquement q’il la voyait à sont était normal .Mais lorsqu’il apprit que Hind pouvait maintenant courir et que ses cheveux et les poils de son corps repoussèrent après être tombés, il fut pris d’un état de stupeur et demanda à voir Hind par n’importe quel moyen .
[Cette histoire ut diffusée dans certains journaux Koweïtiens (avec des modifications) ]