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 les kabaîr

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Noor
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MessageSujet: les kabaîr   les kabaîr EmptyVen 8 Avr - 14:35

Assalamou alaykoum wa rahmatoullahi wa barakatouhou


je cherche des liens avec les différents kabair ainsi que des explications

barakAllahou fikouna mes chères soeurs
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UmmTaqqyâ
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MessageSujet: Allâhu Akbar !   les kabaîr EmptySam 9 Avr - 9:28

Bismilêh rahmân rahim


As selemoileykum




Chère soeur Noor : )

Les Kabâ`irs dans le koufr ?


Qu'Allâh SbhanAllâhou Wa Ta'l unisse nos coeurs amîn!
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Noor
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MessageSujet: Re: les kabaîr   les kabaîr EmptyDim 10 Avr - 0:06

Assalamou alaykoum wa rahmatoullahi wa barakatouhou

en général pas seulement dans le koufr


barakAllahou fiki
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hajja

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MessageSujet: Re: les kabaîr   les kabaîr EmptyMar 12 Avr - 11:50

[center] bismileh As selem

Question:
Que dit l'Islam sur l'adultère et la fornication ?

Réponse:
L'adultère (avoir des relations sexuelles avec une personne autre que son conjoint en dehors du cadre du mariage) et la fornication (avoir des relations sexuelles hors du cadre du mariage) sont tous deux désignés par le terme arabe "zinâ". Le "zinâ", sous toutes ses formes est strictement interdit en Islam et est considéré comme un péché capital. Allah dit à ce sujet dans le Qour'aane:

"Ne vous approchez pas de la fornication. C'est une abomination et une voie pleine d'embûches".

(Verset 32 / Sourate 17)

Ce qui est à noter de ce passage du Qour'aane, c'est qu'Allah n'y interdit pas seulement la fornication. Il interdit même de s'en approcher. Il y a de multiples raisons qui sont à l'origine de l'interdiction de cet acte, mais les deux principales raisons sont les suivantes:

Tout d'abord, le "zinâ" fait disparaître la pudeur -notion morale essentielle pour toute société- et porte gravement atteinte à la dignité humaine -"al ghayrah": Quel être humain digne apprécierait en effet que quelqu'un fasse le zinâ avec sa propre mère, sa soeur ou sa fille ?...

Ensuite, la fornication et l'adultère mettent tout deux en danger la sauvegarde de la pureté des relations filiales. Pour vous faire une idée de la gravité de ce péché en Islam, je vous propose de lire les Hadiths suivants du Prophète Mouhammad (sallallâhou alayhi wa sallam):

"Celui qui fornique n'est pas croyant au moment où il commet l'adultère…"



"Lorsque le serviteur commet l'adultère, la foi sort de lui et se transforme en une ombre qui couvre sa tête…"



Le Prophète Mouhammad (sallallâhou alayhi wa sallam) raconte un de ses rêves (les rêves des prophètes sont véridiques) en ces termes: Je partis en compagnie de Djibraïl (alayhis salâm) et de Mikhâïl (alayhis salâm), et nous arrivâmes à une place semblable à un four dont l'orifice était étroit tandis que le fond était vaste, d'où nous entendîmes un bruit confus. Nous regardâmes et nous vîmes des hommes et des femmes nus qui criaient quand ils recevaient les flammes d'en dessous. Je demandai à Djibraïl (alayhis salâm): "Ô Djibrâïl (alayhis salâm) ! Qui sont ces gens là ?" Il répondit: "Ils sont ceux ont commis l'adultère. Et ils recevront ce châtiment jusqu'au Jour Final"



"Ô musulmans ! Évitez la fornication , car elle comprend six mauvaises qualités: trois qui apparaissent dans ce bas monde et trois dans la vie future. Celles du bas monde sont: la disparition de la splendeur du visage, une vie très courte et une pauvreté permanente. Quand à celles de la vie future; le courroux d'Allah, le mauvais compte et le châtiment du Feu."



Le Prophète Mouhammad (sallallâhou alayhi wa sallam) en décrivant l'Enfer a dit en ce sens: "Il y aura des scorpions de la taille d'un mulet, qui auront soixante dix aiguillons dont chacun contiendra une source de poison. Ce scorpion piquera le fornicateur et videra son poison dans son corps, et il sentira son mal pendant une durée de mille ans. Puis sa chair sera réduite en charpie, et le pus et la matière purulent couleront de sa verge."



Le Prophète Mouhammad (sallallâhou alayhi wa sallam) a aussi dit en ce sens: "Les sept cieux et les sept terres maudissent la personne mariée qui commet l'adultère. En Enfer, une puanteur tellement forte se dégagera des parties privées de ce genre de personne que même les gens en Enfer la supporteront avec difficulté. En plus de leur châtiment en Enfer, ils y seront continuellement avilis et déshonorés."

Qu'Allah nous préserve tous de ces péchés et des ces châtiments.

Âmine.

(Sources: Les Péchés Kabiras et Tafsîr Mazhari)

Wa Allâhou A'lam !

http://www.muslimfr.com/modules.php?name=News&file=article&sid=303

Suite***
As selem [/center]


Dernière édition par le Mar 12 Avr - 11:58, édité 1 fois
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hajja

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MessageSujet: Re: les kabaîr   les kabaîr EmptyMar 12 Avr - 11:55

bismileh As selem

La négligence de la prière obligatoire.

Suite***


Avant d'aborder la question de la gravité que représente la négligence de la prière obligatoire en Islam, je voudrai juste rappeler un certain nombre de choses:



La "Salât" est le plus important pilier de l'Islam après la "Chahâdah" (la profession de foi).

L'une des dernières recommandations du Prophète Mouhammad (sallallâhou alayhi wa sallam) à l'attention de sa "Oummah", avant qu'il ne quitte ce monde, portait sur le respect de la "Salât".

D'après les Hadiths, il apparaît clairement que la prière sera le premier devoir au sujet duquel les croyants seront questionnés le Jour du Jugement Dernier.

Le Prophète Mouhammad (sallallâhou alayhi wa sallam) affirmait que la fraîcheur de ses yeux se trouvait dans la Salât.

Quand il (sallallâhou alayhi wa sallam) était préoccupé par quelque chose, il allait chercher du soutient dans la prière.

La "Salât" est un moment durant lequel le croyant converse directement avec Allah. En effet, dans un Hadith, il est relaté que lorsque le musulman récite les différents versets de la sourate "Fâtiha", Allah lui répond immédiatement. C'est peut être la raison pour laquelle certains affirment que la prière est le "Mi'râdj" (l'ascension) du croyant.

La prière est également pour le croyant un moyen lui permettant d'exprimer par ses gestes et sa conduite sa totale soumission envers Allah.

La Salât est un moyen de purification extraordinaire des péchés pour le musulman, comme l'a évoqué le Prophète Mouhammad (sallallâhou alayhi wa sallam) dans de nombreux Hadiths.

Ces différents éléments montrent clairement l'importance de la Salât en Islam. Il est à noter cependant que les références islamiques n'ont pas seulement évoqué l'obligation de la Salât ainsi que les vertus qui sont liées à sa pratique; ils contiennent également des mise en garde sévères et des avertissements terribles à l'encontre de ceux qui font preuve de négligence par rapport à ce devoir fondamental.

Il est ainsi rapporté dans les Hadiths que le Prophète Mouhammad (sallallâhou alayhi wa sallam) a dit:

"En vérité, entre l'homme et le polythéisme ainsi que la mécréance, il (n'y) a (que) la négligence de la Salât". (Mouslim)

C'est en raison de ce genre d'avertissements que certains Compagnons (radhia Allâhou anhoum) (tels que Oumar (radhia Allâhou anhou), Abdoullah Ibné Abbâs (radhia Allâhou anhou) et Abdoullah Ibné Mas'oûd (radhia Allâhou anhou)) , ainsi que de nombreux savants (parmi lesquels Imâm Ahmad Ibné Hambal r.a., Ishâq Ibné Râhwayh r.a. et Abdoullâh Ibné Moubârack r.a.) étaient d'avis que celui qui délaisse une prière obligatoire sans raison valable perd sa foi et devient mécréant. Il est à noter cependant que cette question n'a jamais fait l'unanimité et elle a toujours été controversée. En effet, la majorité des savants pensent, se basant pour cela sur un certain nombre d'autres références, que celui qui abandonne la Salât sans motif valable mais qui ne renie pas pour autant son obligation commet un très grave péché. Il reste cependant musulman. Ils interprètent ce Hadith comme étant en rapport avec celui qui délaisse la Salât en remettant en question son caractère obligatoire. Il n'en reste pas moins que les propos du Prophète Mouhammad (sallallâhou alayhi wa sallam) sont très durs et donnent à réfléchir…

Dans un autre Hadith, il est dit en ce sens:

"Celui qui ne respecte pas la Salât n'aura ni lumière, ni preuve (en sa faveur), ni salut (le Jour du Jugement Dernier). Et il sera le Jour Final en compagnie de "Qâroûn" (Coré) , "Fir'aoûn" (Pharaon), "Hâmân" et "Oubay Ibné Khalf"." (Ahmad, Tabrâni et Ibné Hibbân)

Ibné Qayyim r.a., expliquant ce Hadith, écrit que:

Celui dont le pouvoir aura empêché de prier sera ressuscité avec Pharaon (de nombreux versets du Qour'aane relatent comment il avait abusé de son pouvoir pour asservir son peuple et s'était lui-même proclamé comme étant Dieu. Le Qour'aane évoque également sa tyrannie, sa rébellion envers Allah et le Prophète Moïse (alayhis salâm) etc…).

Celui dont les biens auront empêché de faire la Salât sera ressuscité en compagnie de Coré (voir le sort qui lui a été réservé dans le passage suivant du Qour'aane: Sourate 28 / Versets 76 à 82).

Celui dont la fonction et l'attachement pour l'honneur aura empêché de prier sera ressuscité avec Hâmân (qui est également mentionné dans le Qour'aane comme étant un proche collaborateur du Pharaon, dont il était le vizir).

Celui dont le commerce aura empêché de faire la Salât sera ressuscité aux côtés de "Oubay Ibné Khalf" (A titre de rappel, il faut savoir que ce dernier était un riche commerçant païen de la Mecque et un ennemi acharné du Prophète Mouhammad (sallallâhou alayhi wa sallam) . Il avait l'habitude de dire au Prophète Mouhammad (sallallâhou alayhi wa sallam) qu'il avait un élevé et entretenu un cheval dans le seul but qu'un jour il s'en servirait pour le tuer (Naoûdhou billâhi min dhâlik). Une fois, le Prophète Mouhammad (sallallâhou alayhi wa sallam) le répondit en ces termes: "Incha Allah, c'est moi (au contraire) qui vais te tuer !". Cette prophétie se réalisa plusieurs années plus tard, lors de la bataille de Ohod. Le Prophète Mouhammad (sallallâhou alayhi wa sallam) le blessa alors légèrement avec une petite lance. Mais cette blessure fut pourtant à l'origine de sa mort, et il rendit l'âme dans d'énormes souffrances, avant même d'avoir pu retourner à Makkah).

Le Jour Final, vous le savez bien, sera vraiment terrible… A ce moment, chacun essaiera de s'attirer la Miséricorde d'Allah… En ce Jour, la colère d'Allah sera si grande que même les Messagers et Prophètes (alayhimous salâm) n'oseront pas Lui demander quoique ce soit… Dans ces conditions, essayez d'imaginer la situation de celui qui se retrouvera aux côtés des plus grands ennemis d'Allah… Qu'Allah nous préserve tous d'un tel sort ! Âmine.

Dans un autre Hadith, il est rapporté que le Prophète Mouhammad (sallallâhou alayhi wa sallam) a dit:

"Celui qui a perdu une prière, c'est comme si on lui avait pris sa famille et ses biens." (Ibné Hibbân et Ahmad)

Au travers de ces propos, le Prophète Mouhammad (sallallâhou alayhi wa sallam) veut faire prendre conscience aux croyants et croyantes que le préjudice que représente pour un individu la perte de sa famille et de ses biens est équivalent au préjudice que doit supporter celui qui a perdu une seule Salât. Essayez d'imaginer à partir de là la situation de celui qui délaisse les cinq prières quotidiennes…

Ces différents Hadiths que nous avons vu jusqu'à maintenant ne laissent place à aucune ambiguïté: la négligence de la Salât compte parmi les péchés les plus graves… Pourtant, combien de fois encore, de nos jours, nous nous montrons insouciants à ce sujet. Par exemple, il suffit que l'on soit un peu souffrant pour qu'on délaisse complètement la Salât. En agissant ainsi, nous oublions la réaction de Oumar (radhia Allâhou anhou) dans les derniers moments de sa vie: Bien qu'il avait été poignardé à plusieurs reprises et qu'il avait des blessures ouvertes très graves avec une forte hémorragie, cependant, lorsqu'arrivait l'heure de la prière, on le réveillait et on lui demandait s'il désirait l'accomplir. Il répondait par l'affirmative, l'accomplissait comme il le pouvait et ajoutait alors: "Celui qui ne fait pas la prière n'a pas de place en Islam…" Soubhânallâh ! Ces gens avaient réellement compris l'importance de la Salât ! Qu'Allah nous accorde également cette compréhension qui nous fait défaut aujourd'hui. Âmine.

Il est à noter que les Hadiths cités portent également sur le fait de ne pas accomplir la prière à son heure et de le remplacer par la suite, et ce, sans raison valable. Ibné Mas'oud (radhia Allâhou anhou) , commentant le verset suivant du Qour'aane qui dit " Malheur donc, à ceux qui prient tout en négligeant leur Salat" , affirme que cela concerne ceux qui retardent les prières.

En guise de conclusion, je voudrai juste rappeler le récit suivant:

Dans un Hadith du Sahîh Boukhâri, il est rapporté qu'une fois le Prophète Mouhammad (sallallâhou alayhi wa sallam) fit un rêve dans lequel il vit un homme qui se faisait écraser la tête indéfiniment avec un rocher (c'est à dire qu'à chaque fois qu'il avait la tête enfoncée, le temps que le rocher soir ramené, sa tête retrouvait sa condition normale. Et le supplice recommençait alors à nouveau…). Lorsqu'il questionna Djibraïl (alayhis salâm) (qui l'accompagnait) à ce sujet, voici la réponse qu'il obtint: "Cet homme avait appris le Qour'aane et l'avait ensuite délaissé et il se montrait négligent envers les prières obligatoires."

Qu'Allah nous protège de tous les châtiments et nous permette de toujours respecter la Salât, ainsi que tous les autres devoirs religieux.

Âmine

Wa Allâhou A'lam !

(Réf: "Fadhâïl 'Amâl", "Al Kabâïr" …)

http://www.muslimfr.com/modules.php?name=News&file=article&sid=224
suite***

As selem
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MessageSujet: Re: les kabaîr   les kabaîr EmptyMar 12 Avr - 12:04

bismileh As selem


Suite***
Evitons les polémiques...



Il existe, au sein du Qour'aane et des Hadiths rapportés du Prophète Mouhammad (sallâllâhou alayhi wa sallam), de nombreuses références qui nous indiquent que l'ensemble des faits et gestes de chaque individu sur cette terre sont soigneusement inscrits.

Et chacun aura a répondre, le Jour Final, des actes qu'il a fait durant son existence. Allah nous avertit dans le Qour'aane de ce qui se passera alors:

Et le jour où les ennemis d'Allah seront rassemblés en masse vers le Feu... Puis on les poussera [dans sa direction].

Alors, quant ils y seront, leur ouïe, leurs yeux et leurs peaux témoigneront contre eux de ce qu'ils œuvraient.

Ils diront à leur peaux : "Pourquoi avez-vous témoigné contre nous ? " Elles diront : "C'est Allah qui nous a fait parler, Lui qui fait parler toute chose. C'est Lui qui vous a créés une première fois et c'est vers Lui que vous serez retournés".

Vous ne pouvez vous cacher au point que ni votre ouïe, ni vos yeux et ni vos peaux ne puissent témoigner contre vous. Mais vous pensiez qu'Allah ne savait pas beaucoup de ce que vous faisiez.

(Sourate 41 / Versets 19 à 22)

Il faut cependant reconnaître que le croyant, s'il a toujours plus ou moins conscience des conséquences de ses actions, il n'est pas rare de constater qu'il porte beaucoup moins attention aux propos qu'il tient... Pourtant, là encore, le Qour'aane nous apprend que chaque mot que nous prononçons est immédiatement consigné, que ce soit des paroles en bien ou en mal. Et le Jour du Jugement Dernier, nous aurons également à répondre de ces propos. Allah dit:

Nous avons effectivement créé l'homme et Nous savons ce que son âme lui suggère et Nous sommes plus près de lui que sa veine jugulaire

quand les deux recueillant, assis à droite et à gauche, recueillent.

Il ne prononce pas une parole sans avoir auprès de lui un observateur prêt (à l'inscrire).

(Sourate 50 / Versets 16 à 18)

Anou Houraïra (radhia Allâhou anhou) rapporte qu'il a entendu ces propos du Prophète Mouhammad (sallâllâhou alayhi wa sallam):

"Certes, le serviteur peut prononcer un mot sans y prendre garde, mot qui (pourtant) lui vaudra le Contentement d'Allah et grâce auquel Allah l'élèvera de plusieurs degrés; mais le serviteur peut aussi laisser échapper une parole sans y prendre garde, parole qui provoquera la Colère divine et lui vaudra d'être précipité en Enfer." (Boukhâri)

Dans une autre Tradition authentique rapportée par Bilâl Ibn oul al Hârith (radhia Allâhou anhou), voici les propos qui sont attribués au Prophète Mouhammad (sallâllâhou alayhi wa sallam):

"Certes l'homme peut prononcer une parole agrée d'Allah sans en mesurer toutes les conséquences et pour laquelle Allah lui accordera Son Agrément jusqu'au Jour où il Le rencontrera. Et l'homme peut aussi prononcer une parole suscitant le Courroux divin sans en mesurer toutes les conséquences et qui lui vaudra le Courroux divin jusqu'au Jour où il Le rencontrera." (Tirmidhi, Al Mouwatta)



C'est ce qui explique notamment pourquoi, en Islam, une véritable "éthique du langage" (si l'on peut s'exprimer ainsi...) a été élaborée. Et le respect de cette éthique est d'autant plus important pour les croyants et les croyantes, qu'en matière de conduite sociale, la nature des propos échangés entre les individus se révèle être l'un des éléments qui conditionne le plus la qualité des relations mutuelles. D'où les exhortations répétées du Prophète Mouhammad (sallâllâhou alayhi wa sallam) portant sur la grande vigilance que devrait témoigner chacun et chacune à ce sujet.

On apprend ainsi par le biais de certains Hadiths que le Prophète Mouhammad (sallâllâhou alayhi wa sallam) n'appréciait pas que l'on réponde à des propos déplacés par d'autres, similaires. Aïcha (radhia Allâhou anha) raconte, qu'une fois, des juifs vinrent visiter le Prophète Mouhammad (sallâllâhou alayhi wa sallam) et dirent (en entrant): "As sâmou alaykoum ! " ("Que la mort s'abatte sur vous !" En fait, en raison de leur haine et de leur animosité envers le Messager d'Allah (sallâllâhou alayhi wa sallam), au lieu de prononcer la formule habituelle de salutation, "Assalâmou alaykoum", ils jouaient sur les mots et remplaçaient ceux-ci par des propos malsains et des imprécations...) Aïcha (radhia Allâhou anha) répondit alors: "(Qu'elle s'abatte) sur vous ! Et que la malédiction et le courroux d'Allah tombent sur vous !" Le Prophète Mouhammad (sallâllâhou alayhi wa sallam) dit alors: "Doucement, Ô Aïcha ! Adopte (plutôt) la douceur et évite la rudesse et la grossièreté." (Boukhâri).

N'oublions pas non plus les directives qu'Allah adressa à Moussa (alayhis salâm), alors qu'il était envoyé pour prêcher la vérité à Pharaon:

"Allez vers Pharaon : il s'est vraiment rebellé. Puis, parlez-lui gentiment (littéralement: "Dites-lui des paroles douces"). Peut-être se rappellera-t-il ou [Me] craindra-t-il ?"...)
(Sourate 20 / Versets 43 et 44)



On ne peut nier le fait que, souvent, les conflits qui surgissent (et qui durent...) entre les personnes sont provoqués par un manque d'attention dans les propos prononcés. C'est d'ailleurs ce qui contribue à faire de la langue l'un des organes par l'intermédiaire duquel de très nombreux péchés sont commis. Le Prophète Mouhammad (sallâllâhou alayhi wa sallam) ne disait-il pas, pour nous faire prendre conscience de ceci, "celui qui me garantit ce qu'il a entre les mâchoires (c'est à dire sa langue) et ce qu'il a entre ses jambes, je lui garantis le paradis." (Boukhâri et Mouslim) ?...

On comprend dès lors pourquoi le Messager d'Allah (sallâllâhou alayhi wa sallam) recommandait avec tant d'insistance aux croyants et aux croyantes d'éviter les paroles futiles et inutiles et de préférer à celles-ci le silence. On devrait souvent méditer sur les conseils qu'il (sallâllâhou alayhi wa sallam) avait donné à Ouqba Ibné Âmir (radhia Allâhou anhou), qui lui avait questionné au sujet de la réussite... Il lui avait répondu: "Retiens ta langue, demeures chez toi le plus possible (littéralement: "que ta maison te contienne") et pleures sur tes fautes." (Tirmidhi - Hadith fiable)

Bien sûr, dans le cas d'une personne qui désire dire du bien, le silence ne sera pas préférable. En effet, la bonne parole a été qualifiée d'aumône par le Prophète Mouhammad (sallâllâhou alayhi wa sallam) dans un Hadith cité dans le Sahîh Boukhâri.

Notre "éthique du langage" s'alimente également de l'ensemble des directives qui ont été énoncées dans le Qour'aane et la Sounnah concernant les propos que le croyant et à la croyante doit nécessairement se préserver...

Parmi ceux-ci, il y a les disputes et les discussions violentes ("djidâl"), les polémiques ("mirâ'") et les querelles ("khousoûmah"). L'Imâm Adh Dhahabi r.a., dans son ouvrage traitant des péchés majeurs, "Al Kabâïr", consacre un chapitre entier pour dénoncer la gravité et les effets néfastes des polémiques et des disputes. Il y rapporte notamment les propos de l'Imâm Nawawi r.a. à ce sujet, qui dit:

"Sache que la discussion peut aussi bien être fondée sur un droit que sur de faux arguments. Allah dit (en faisant allusion au premier type de discussion): "Ne discute avec les Gens du Livre que de la manière la plus courtoise" - Il dit aussi: "Discute avec eux de la meilleure manière." (et au sujet du second type de discussions,) Allah dit: "Ne discutent au sujet des Signes d'Allah que ceux qui ont mécru." (L'Imâm Nawawi r.a.) dit: "Si la discussion a pour objet la connaissance de la vérité et son affirmation, dans ce cas, elle est louable. Mais si elle faite pour repousser la vérité ou s'il s'agit d'une discussion âpre avec ignorance, elle est méprisable."

Ensuite, l'Imâm Dhahabi r.a. relate les propos de l'Imâm Ghazâli r.a. visant à désigner les querelles qui sont condamnables:

"En vérité, le mépris et le blâme s'appliquent pour celui qui se querelle en tort, sans aucune connaissance (...) Est aussi condamnable (l'attitude de) celui qui se dispute pour récupérer son droit en manifestant de l'acharnement et de la violence, en forgeant des mensonges, en lésant son vis-à-vis et en le dominant. Il en est de même pour celui qui mêle dans sa discussion des propos blessant et de nature à nuire, alors qu'il n'en a nullement besoin pour récupérer son droit ou qui ne se dispute que par entêtement, afin d'avoir le dessus sur son opposant et le briser. C'est donc (tout) cela qui est méprisable." Il continue un peu plus loin en ces termes: "Et la discussion est de nature à développer l'animosité et à attiser la colère. Et lorsqu'il en est ainsi, la rancune se crée entre les deux personnes concernées, à tel point que l'un se met à se réjouir du malheur de l'autre et il s'attriste lorsque son opposant est joyeux. Il délie alors sa langue pour salir l'honneur de la partie adverse. Celui qui se dispute se trouve donc confronté à tous ces maux, dont le moindre est la préoccupation permanente du cœur, à tel point que même lorsqu'il se trouve en prière, son esprit est troublé par cette discussion et cette polémique. Il ne peut ainsi trouver la sérénité (ou la stabilité). La dispute âpre est donc la source du mal, tout comme la querelle. C'est la raison pour laquelle l'homme ne devrait ouvrir la porte de la discussion qu'en cas de nécessité absolue."

Après cette longue citation, l'Imâm Dhahabi r.a. cite quelques Traditions se rapportant à cela, et parmi celles-ci, on trouve les propos suivants rapportés par Ibné Abbâs (radhia Allâhou anhou):

"Il te suffit comme péché que d'être constamment en train de te quereller."

Qu'Allah nous préserve tous d'une telle attitude ! Âmine

Je conclurai avec un humble et ultime rappel: N'oublions pas que cette vie qui nous a été accordée représente pour nous le capital que nous devrons nécessairement faire fructifier afin de trouver le succès éternel dans la Vie Future. Ne gaspillons donc pas ce précieux "capital temps" (dont nous aurons à répondre devant Notre Créateur) dans des polémiques et des discussions âpres et inutiles, qui n'augmentent en rien notre foi et ne font que porter atteinte à notre spiritualité. Utilisons-le plutôt avec intelligence et discernement, afin de répandre le bien autour de nous.

Qu'Allah protège et renforce notre foi et nous guide vers les actes qu'Il agrée. Âmine

Bismillâhir Rahmânil Rahîm

"Par le Temps !

L'homme est certes, en perdition,

sauf ceux qui croient et accomplissent les bonnes œuvres, s'enjoignent mutuellement la vérité et s'enjoignent mutuellement l'endurance."

Wa Allâhou A'lam !

suite***

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MessageSujet: Re: les kabaîr   les kabaîr EmptyMar 12 Avr - 12:14

bismileh As selem

L'Islam et les jeux de hasard.



Allah a mis à la disposition des hommes l'ensemble de ce qu'il a crée sur cette terre. Afin que celui-ci puisse tirer profit et jouir de ces choses, Il lui a accordé le droit de les posséder. Mais comme l'être humain est prédisposé pour vivre au sein de ses semblables et en société, le seul droit de propriété ne lui suffit pas: il doit également être en mesure de procéder à des échanges de propriétés et de services. C'est la raison pour laquelle Allah a institué pour les hommes, par le biais de la Législation Révélée, des règles bien déterminées et claires, ayant pour objectif, dans un premier temps, de leur enseigner quels sont les moyens licites (et illicites) d'acquisition de biens, mais visant également à codifier les échanges entre individus en protégeant la propriété et les droits de chacun. Ainsi, toute transaction conduisant à une violation d'un des principes fondamentaux orientant la législation islamique (protection de la personne, de son honneur, de ses biens…) ou ayant des effets néfastes sur la collectivité humaine a été interdite.


Dans les lignes qui vont suivre, il va justement être question d'une de ces pratiques qui a été sévèrement condamnée en Islam: Il s'agit de ce que le Qour'aane évoque sous l'appellation de "Al Maysir", traduit en français par les "jeux de hasard". A l'époque de la Révélation, il en existait de nombreuses formes: l'une des plus courantes consistait à acheter un animal, à l'égorger, à le diviser en plusieurs parts et à le distribuer suivant un tirage au sort. Celui qui gagnait emportait des portions de l'animal, tandis que le perdant devait s'acquitter du prix de celui-ci. Vous aurez compris que, bien que cette pratique n'existe plus aujourd'hui, son principe, lui, n'a pas changé et est encore présent dans tous les jeux de hasard avec mise. C'est la raison pour laquelle il y a unanimité entre les savants musulmans pour considérer l'ensemble des formes de jeux de hasard (avec mise) qui existent actuellement (ou qui seront inventées à l'avenir suivant ce même principe) comme étant strictement interdites.

Aujourd'hui malheureusement, nous sommes entrés dans une phase où de nouvelles formes de jeux font de plus en souvent leur apparition, accompagnées par de très fortes campagnes médiatiques qui ne manquent pas de faire miroiter les sommes (de plus en plus extravagantes) en jeu… Ce qui fait que l'attrait pour ces jeux prend également de l'ampleur. Il est donc devenu indispensable d'effectuer un petit rappel à ce sujet, afin que, Incha Allah, chacun d'entre nous puisse trouver la force de lutter efficacement contre cette tentation grandissante.

Pour ce qui est de la gravité de ce péché en Islam, on peut déjà s'en faire une idée uniquement en lisant le passage suivant du Qour'aane:

"Ô les croyants ! Le vin, le jeu de hasard, les pierres dressées, les flèches de divination ne sont qu'une abomination, œuvre du Diable. Écartez-vous en, afin que vous réussissiez."

On remarquera que dans ce verset, Allah a lié la pratique du jeu de hasard à la consommation du vin ainsi qu'à deux éléments en rapport direct avec des pratiques païennes: les pierres dressées (stèles auprès desquelles les polythéistes égorgeaient des animaux au nom de diverses divinités) et les flèches divinatoires (que les polythéistes utilisaient lors de tirages au sort ayant pour but d'exprimer, selon eux, la volonté des idoles au sujet d'une question déterminée…) Cette disposition du texte coranique nous enseigne au moins deux choses:

La répulsion que l'on doit éprouver à l'égard des jeux de hasard doit être semblable à celle qui nous avons pour les pratiques relevant du "Chirk" (association à Allah).
Le degré de souillure représenté par chacun de ces péchés est relativement le même.


Mais ce n'est pas tout… En tant que musulman, nous avons tous une conscience particulière, nourrie par nos principes religieux, qui fait que nous éprouvons instinctivement de la répulsion pour certaines choses ou certaines pratiques, même si en elles mêmes, elles ne sont pas forcément interdites en Islam. A titre d'exemple, s'il nous arrive de traverser le rayon charcuterie d'un supermarché, très peu d'entre nous oseront toucher un morceau de porc, et ce, même si celui-ci se trouve recouvert d'un emballage (en plastique ou autre)… Cette répulsion extrême pour le porc est justement le fruit de cette conscience que nous avons évoquée. Ce que nous ne devons pas oublier, c'est que, dans un Hadith rapporté par Mouslim, le Prophète Mouhammad (sallâllâhou alayhi wa sallam) a comparé celui qui s'adonne au "Nard Chîr" (forme bien particulière de jeu de hasard qui existait à l'époque de la Révélation) à une personne qui trempe ses mains dans le sang et la chair du porc… C'est vous dire combien, aux yeux du Prophète Mouhammad (sallâllâhou alayhi wa sallam), cette pratique était détestable…



Par ailleurs, comme cela avait été évoqué de façon implicite au début, les jeux de hasard occasionnent des effets extrêmement néfastes, non seulement au niveau individuel, mais également sur la société entière. En sus de la dépendance qui se développe chez le joueur, il y aussi une sorte d'ivresse qui le prend, le faisant perdre progressivement sa conscience et son bon sens. Il en arrive ainsi à négliger ses responsabilités fondamentales pour satisfaire son vice: On ne compte plus le nombre de personnes qui, au lieu de subvenir aux besoins financiers de leur famille ou de s'acquitter de leurs dettes envers leurs créanciers, préfèrent "jeter" leur argent dans l'assouvissement de cette passion du jeu… Pourtant chacun sait pertinemment que dans les jeux, les chances de gains sont extrêmement minimes, comparativement aux risques de pertes. Nul besoin de se plonger dans des statistiques détaillées pour comprendre cela: Il suffit de regarder le nombre de nouvelles formes de jeux qui font leur apparition régulièrement pour être persuadé que les créateurs de ces jeux ne sont certainement pas ceux qui risquent de perdre de l'argent. Donc, en jouant, on contribue à accentuer un peu plus le déséquilibre économique au sein de la société. L'argent de la majorité se retrouve ainsi monopolisé entre les mains d'une minorité, chose contre laquelle l'Islam a toujours lutté.



Mais le désastre des jeux de hasard ne s'arrêtent pas là: Sur le plan moral également, leur effet néfaste se fait ressentir.

Nous savons tous que l'Islam a toujours prôné les valeurs d'entraide, de justice et de solidarité au sein de la communauté humaine. C'est la raison pour laquelle la "Sadaqah" (aumône), sous quelque forme qu'elle soit, a toujours été considérée comme un acte très méritoire en Islam, parce qu'elle contribue justement à la promotion de l'entraide, de la justice et de la solidarité. De même, en matière d'échanges de biens, Allah a rendu le commerce licite, parce qu'il s'agit là du moyen par l'intermédiaire duquel chacune des deux parties contractantes, aussi bien le vendeur que l'acheteur, y trouve son compte et son profit.

En ce qui concerne les jeux de hasard, le processus sur lequel ils reposent se trouve en contradiction totale avec mes trois notions évoquées. Ici, pour que l'on gagne, il faut absolument que d'autres participants perdent de leur argent. En d'autres mots, on souhaite, ne serait-ce inconsciemment, l'appauvrissement relatif des autres pour son enrichissement personnel. Vous voyez bien qu'on est très loin des idéaux islamiques.



Voici donc quelques unes des raisons qui expliquent pourquoi le musulman se doit de détester et d'éviter au maximum les jeux de hasard. Nous ne devrions pas oublier non plus que, quelque soient les gains financiers que l'on puisse obtenir par ce moyen, ils ne bénéficieront jamais de la "Barakah" (la bénédiction divine), qui est pour nous synonyme de croissance pour les richesses: Ce n'est pas la quantité de biens possédée qui garantit le bonheur de l'individu, mais bien l'utilisation qu'il peut en faire… C'est la raison pour laquelle, en tant que croyant et croyante vivant dans un environnement dominé par le matérialisme, une de nos priorités actuellement consiste en une nécessaire prise de conscience en ce qui concerne nos rapports avec les biens matériels:

Combien il est triste de constater que, de nos jours, l'argent est devenu notre centre vital. Et on n'exagérera pas en disant que, quelque part, il a pris la place d'Allah au sein de notre existence. Toutes nos actions sont motivées par l'attrait du gain, et la recherche de l'agrément divin par nos faits et gestes est malheureusement passé au second plan. Résultat: Nous ne reculons devant rien pour accroître notre richesse, quitte pour cela à acquérir des biens de façon illicite. Ce Hadith que nous rapporte un Compagnon (radhia Allâhou anhou) devrait nous interpeller profondément: Abdoullâh Ibné Schikhîr (radhia Allâhou anhou) raconte qu'il vint un jour trouver le Prophète Mouhammad (sallâllâhou alayhi wa sallam) et il le trouva en train de réciter: "La course aux richesses vous a distrait (de l'Au-delà)" (Qour'aane: Sourate 102). Il (sallâllâhou alayhi wa sallam) dit alors:

"Les fils d'Adam répètent: mon bien, mon bien. Et que possèdes-tu de tes biens, Ô fils d'Adam, si ce n'est ce que tu as mangé et consommé, ce dont tu t'es vêtu et que tu as usé ou ce dont tu as fait l'aumône et dont tu t'es séparé ?" (Mouslim)



Ibné Mas'oud (radhia Allâhou anhou) rapporte pour sa part les propos suivants du Prophète Mouhammad (sallâllâhou alayhi wa sallam):

"Lequel d'entre vous préfère à ses propres biens les biens qu'il laissera à ses héritiers ?" Ils (les Compagnons (radhia Allâhou anhoum) répondirent: "Il n'en est pas un parmi nous pour préférer à ses propres biens les biens qu'il abandonnera à ses héritiers." Le Prophète Mouhammad (sallâllâhou alayhi wa sallam) leur dit alors: "Sachez que vos biens sont ceux que vous avez dépensés (en œuvres pies) et que les biens de vos héritiers sont ceux que vous avez conservés (jusqu'à la mort)." (Boukhâri)



Qu'Allah nous accorde à tous l'opportunité de lutter contre le fléau des jeux de hasard et nous protège contre tous les moyens illicites d'acquisition de biens. Âmine.

http://www.muslimfr.com/modules.php?name=News&file=article&sid=189

As selem
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Noor
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MessageSujet: Re: les kabaîr   les kabaîr EmptyDim 17 Avr - 15:36

Assalamou alaykoum wa rahmatoullahi wa barakatouhou


barakAllahou fikouna mes chères soeurs
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